Lorsqu’il s’agit aujourd’hui d’aborder le « délicat » sujet de la féminisation du langage, ou écriture dite « inclusive », deux tendances s’affrontent et nous somment de choisir :
– D’un coté un féminisme « pseudo radical », fruit des élucubrations universitaires, qui s’avère fortement englué dans une posture ... (Lire la suite...)